L’art célèbre régulièrement les performances sportives. On peut penser au « Discobole » (ou lanceur de disque) de Myron qui glorifie l’esthétique et la puissance par exemple, ou au film « Million Dollar Baby » qui souligne la persévérance et la discipline par exemple. Les Jeux Olympiques de 2024 ne sont pas une exception.
Le cinéma et les séries TV redécouvrent Paris
Bien sûr, les productions françaises n’ont jamais boudé la capitale. Entre « Le fabuleux destin d’Amélie Poulain », « Le Bureau des Légendes » et la série d’horreur « Marianne », de nombreuses œuvres cinématographiques nous ont fait arpenter les pavés parisiens.
Ce qui est marquant, c’est que Paris confirme son statut de décor de choix pour les séries internationales. Après le succès de « Lupin » et « Emily in Paris », de nouvelles productions s’installent dans la capitale. Ainsi, la série « Paris Has Fallen », lancée en 2024, met en scène un thriller d’action dans les rues parisiennes.
Et cela, sans compter les films ou les séries qui ont été partiellement tournés à Paris, comme « Sense8 » où l’épisode final se déroule à Paris (et à Naples).
Un « effet Jeux Olympiques » auprès des créateurs artistiques ?
Cet effet n’est pas limité à la cérémonie d’ouverture. Acclamée internationalement (bien qu’elle ait été vilipendée par certains, comme Vladimir Poutine ou son ami Viktor Orban), elle a mis en lumière l’universalité de l’art et sa diversité.
Le sport est également mis à l’honneur : « Au cœur des Jeux », une série documentaire réalisée par Jules et Gédéon Naudet, fait revivre ces petits instants, ces détails dans les coulisses, qui ont fait la grande histoire des Jeux Olympiques de Paris 2024. Elle nous fait revivre les réunions secrètes à l’Elysée, les chantiers de la place Concorde, le parcours de la Flamme…
La question qui se pose : est-ce que cet engouement pour Paris généré par les J.O. perdurera ?
Pour connaître mon analyse et ma réponse à cette question, envoyez-moi votre message à nicolas@mrnicolasderouet.com.